dimanche 1 février 2015

Février : Différentes variétés de Médiums

                 

                                                               LA MEDIUMNITE


            La faculté médiumnique est aussi ancienne que le monde ; les prophètes étaient des
            médiums ; les Chaldéens, les Assyriens avaient des médiums. Socrate était inspiré par
            un esprit qui lui transmettait les admirables principes de sa philosophie.
            Tous les peuples ont eu leurs médiums, et les inspirations de Jeanne d'Arc n'étaient autres
            que les voix d'Esprits bienfaisants qui la dirigeaient. Ce don qui se répand maintenant
            était devenu plus rare dans les siècles moyens, mais il n'a jamais cessé.

            Tous les Esprits obéissent à la loi de Dieu, ou loi qui régit l'Univers.
            Il est clairement précisé et instructif de constater que la médiumnité n'est pas un
            bricolage de boutiquiers marchands de fausses espérances, car les Bons Esprits ne
            répondent jamais que dans un but utile.
            Ils refusent de répondre dans les milieux de gens animés d'une curiosité morbide, et 
            encore moins avec des médiums vénaux.
            Nous ne connaissons pas encore bien la faculté médiumnique, trop galvaudée, déformée,
            mal expliquée dans les médias de notre pays.

           Le désintéressement doit être une des qualités essentielles du médium, doublé par un
           comportement modeste et dévoué. Si Dieu accorde à quiconque des facultés médiumniques
           il peut aussi les retirer, d'où les charlatans et faux médiums. Cette faculté n'a aucune
           mixité avec la cupidité et l'orgueil de ceux qui à travers ce don viennent se donner en
           spectacle, comme s'il n'y avait qu'eux pour en parler, sur les ondes comme à travers les
           lucarnes de la télévision.

           Dieu permet donc la médiumnité afin qu'elle serve aux hommes de toutes confessions,
           de toutes races, athées ou croyants, religieux ou non, afin de les tirer du bourbier de la
           vie terrestre et non pour servir les passions mondaines. Ceux qui dérogent à ces principes
           se préparent de fâcheuses déceptions ici-bas.

           
           APTITUDES SPECIALES DES MEDIUMS :

           La médiumnité présente une variété infinie de nuances qui constituent ce qu'on appelle
           les médiums spéciaux, et qui tiennent à des aptitudes particulières non encore définies,
           abstraction faite des qualités et connaissances de l'Esprit qui se manifeste.
           La nature des communications est toujours relative à la nature de l'Esprit, et porte le
           cachet de son élévation ou de son infériorité, de son savoir ou de son ignorance ; mais
           à mérite égal, au point de vue hiérarchique, il y a incontestablement chez lui une 
           propension à s'occuper d'une chose plutôt que d'une autre ; il y a tellement d'Esprits et
           de manifestations différentes. A côté de l'aptitude de l'Esprit, il y a celle du médium
           qui est pour lui un instrument plus ou moins commode, plus ou moins flexible, et dans
           lequel il découvre des qualités particulières que nous ne pouvons apprécier.
           A qualités égales dans la puissance médianimique, l'Esprit donnera la préférence à l'un
           ou a l'autre, selon le genre de communication qu'il veut faire. Par exemple on voit des
           personnes écrire , comme médiums, d'admirables poésies quoique, dans les conditions
           ordinaires, elles n'aient jamais pu ou su faire deux vers ; Il en est de même pour la poésie,
           le dessin, la musique, les connaissances scientifiques, des communications savantes etc
           
           En dehors des causes d'aptitude, les Esprits se communiquent encore plus ou moins 
           volontiers par tel ou tel intermédiaire, selon leurs sympathies ; ainsi, toutes choses égales
           d'ailleurs, le même Esprit sera beaucoup plus explicite avec certains médiums, uniquement
           parce qu'ils lui conviennent mieux.

           La première condition est de s'assurer de la source d'où la communication émane, c'est
           à dire des qualités de l'Esprit qui les transmet ; il faut étudier aussi la nature du médium
           comme on étudie la nature de l'Esprit, car ce sont là les deux éléments essentiels pour
           obtenir un résultat satisfaisant. Il en est un troisième qui joue un rôle également important,
           c'est l'intention, la pensée intime, le sentiment plus ou moins louable de celui qui
           interroge ; A bon Esprit, bon instrument. L'esprit qui lit dans la pensée, juge si la question
           qu'on lui propose mérite une réponse sérieuse, et si la personne qui la lui adresse est digne
           de la recevoir.


                                         DIFFERENTES VARIETES DE MEDIUMS :

             
              Médiums auditifs : ceux qui entendent les Esprits. Assez communs.


             Médiums parlants : ceux qui parlent sous l'influence des Esprits. Assez communs.


             Médiums voyants : ceux qui voient les Esprits à l'état de veille. La vue accidentelle
           et fortuite d'un Esprit dans uns circonstance particulière est assez fréquente ; mais la vue
           habituelle ou facultative des Esprits sans distinction est exceptionnelle.

              Médiums inspirés : ceux auxquels des pensées sont suggérées par les Esprits, le plus
           souvent à leur insu, soit pour les actes ordinaires de la vie, soit pour les grands travaux de 
           l'intelligence.

              Médiums à pressentiments : personnes qui, dans certaines circonstances, ont une vague
           intuition des choses futures vulgaires.

              Médiums prophétiques : variété des médiums inspirés ou a pressentiments ; ils reçoivent
           avec la permission de Dieu, et avec plus de précision que les médiums à pressentiments, la
           révélation des choses futures d'un intérêt général, et qu'ils sont chargés de faire connaître
           aux hommes pour leur instruction.

              Médiums peintres et dessinateurs : ceux qui peignent ou dessinent sous l'influence des
           Esprits. Nous parlons de ceux qui obtiennent des choses sérieuses, car on ne saurait donner
           ce nom à certains médiums auxquels des Esprits moqueurs font faire des choses grotesques
           que désavouerait le dernier écolier.

              Médiums musiciens : ceux qui exécutent, composent ou écrivent de la musique sous
           l'influence des Esprits. Il y a des médiums musiciens mécaniques, semi-mécaniques,
           intuitifs, et inspirés comme pour les communications littéraires.

              
                                        VARIETES DES MEDIUMS ECRIVAINS :


              Médiums écrivains ou psychographes : ceux qui ont la faculté d'écrire eux-mêmes
           sous l'influence des Esprits.


              Médiums écrivains semi-mécaniques : ceux dont la main marche involontairement, mais
           qui ont la conscience instantanée des mots ou des phrases à mesure qu'ils écrivent. Les plus
           communs.

              Médiums écrivains mécaniques : ceux dont la main reçoit une impulsion involontaire
           et qui n'ont aucune conscience de ce qu'ils écrivent. Très rares.

              Médiums intuitifs : ceux à qui les Esprits se communiquent par la pensée et dont la main
           est guidée par la volonté. Ils diffèrent des médiums inspirés, en ce que ces derniers n'ont
           pas besoin d'écrire, tandis que le médium intuitif écrit la pensée qui lui est suggérée
           instantanément sur un sujet déterminé et provoqué.

              Médiums polygraphes : ceux dont l'écriture change avec l'Esprit qui se communique,
           ou qui sont aptes à reproduire l'écriture que l'Esprit avait de son vivant. Le premier cas
           est très ordinaire ; le second, celui de l'identité de l'écriture est plus rare.

              Médiums polyglottes : ceux qui ont la faculté de parler ou d'écrire dans des langues
           qui leur sont étrangères. Très rares.

              Médiums illettrés : ceux qui écrivent, comme médiums sans savoir ni lire ni écrire
           dans l'état ordinaire. Plus rares que les précédents.

              Médiums novices : ceux dont les facultés ne sont point encore complètement développées
           et qui manquent de l'expérience nécessaire.

              Médiums improductifs : ceux qui ne parviennent à obtenir que des choses insignifiantes,
           des monosyllabes, des traits ou des lettres sans suite.

              Médiums faits ou formés : ce sont ceux dont les facultés médianimiques sont complè-
           tement développées, qui transmettent les communications qu'ils reçoivent avec facilité,
           promptitude, sans hésitation. On conçoit que ce résultat ne peut s'obtenir que par l'habitude,
           tandis que, chez les médiums novices, les communications sont lentes et difficiles.

              Médiums laconiques : ceux dont les communications, quoique faciles, sont brèves et
           sans développement.

              Médiums explicitent : les communications qu'ils obtiennent ont toute l'ampleur, toute
           l'étendue que l'on peut attendre d'un écrivain consommé.

              Médiums expérimentés : la facilité d'exécution est une affaire d'habitude qui s'acquiert 
           souvent en peu de temps, tandis que l'expérience est le résultat d'une étude sérieuse de
           toutes les difficultés qui se présentent dans la pratique du spiritisme. L'expérience donne au
           médium le tact nécessaire pour apprécier la nature des Esprits qui se manifestent, juger
           leurs qualités bonnes ou mauvaises par les signes les plus minutieux, discerner la fourberie
           des Esprits trompeurs qui s'abritent sous les apparences de la vérité. Toujours bien prendre
           garde aux Esprits menteurs et hypocrites qui peuvent flatter l'orgueil du médium.

             Médiums flexibles : ceux dont la faculté se prête plus facilement aux divers genres de
          communications, et par lesquels tous les Esprits, ou à peu près, peuvent se manifester,
          spontanément ou par évocation.

            Médiums exclusifs : ceux par lesquels un Esprit se manifeste de préférence, et même à
          l'exclusion de tous autres, et répond pour ceux que l'on appelle par l'entremise du  médium.

            Médiums à évocations : les médiums flexibles sont naturellement les plus propres à ce
          genre de communication, et aux questions de détail qu'on peut adresser aux Esprits.

            Médiums à dictées spontanées : ils reçoivent de préférence des communications 
          spontanées de la part d'Esprits qui se présentent sans être appelés.

            Médiums poétiques : sans obtenir de vers, les communications qu'ils reçoivent ont
          quelque chose de vaporeux, de sentimental ; rien n'y sent la rudesse ; ils sont, plus que
          d'autres, propres à l'expression des sentiments tendres et affectueux. Tout y est vague, et
          il serait inutile de leur demander rien de précis.Très communs.

            Médiums positifs : leurs communications ont, en général, un caractère de netteté et de
          précision qui se prête volontiers aux détails circonstanciés, aux renseignements exacts.
          Assez rares.

            Médiums littéraires : ils n'ont ni le vague des médiums poétiques, ni le terre à terre des
          médiums positifs ; mais ils dissertent avec sagacité ; leur style est correct, élégant et
          souvent d'une remarquable éloquence.

            Médiums incorrects : ils peuvent obtenir de très bonnes choses, des pensées d'une moralité
          irréprochable, mais leur style est diffus, incorrect, surchargé de répétitions et de termes
          impropres.

            Médiums historiens : ceux qui ont une aptitude spéciale pour les développements 
          historiques. Cette faculté, comme toutes les autres, est indépendante des connaissances
          du médium, car on voit des gens sans instruction, et même des enfants, traiter des sujets
          bien au-dessus de leur portée. 

            Médiums scientifiques : nous ne disons pas savants, car ils peuvent être fort ignorants ;
          et nonobstant cela car ils sont plus spécialement propres aux communications relative
          aux sciences.

            Médiums médicaux : leur qualité est de servir plus facilement d'interprètes aux Esprits
          pour les prescriptions médicales.

            Médiums religieux : ils reçoivent plus spécialement des communications d'un caractère
          religieux, ou qui traitent les questions de religion, nonobstant leurs croyances ou leurs
          habitudes.

            Médiums à communications triviales et ordurières : ce genre de communication dépend
          des Esprits qui les font. Quiconque a étudié le monde spirite à tous les degrés de l'échelle
          sait qu'il y en a dont la perversité égale celle des hommes les plus dépravés, et qui se
          complaisent à exprimer leurs pensées dans les termes les plus grossiers. D'autres, moins
          abjects, se contentent d'expressions triviales. Il faudrait une étrange aberration d'idées et
          avoir divorcé avec le bon sens, pour croire qu'un pareil langage puisse être le fait de bons
          Esprits.

                   Selon les qualités physiques du médium :
          
            Médiums calmes : ils écrivent toujours avec une certaine lenteur et sans éprouver la
          moindre agitation.

            Médiums véloces : ils écrivent avec une rapidité plus grande qu'ils ne pourraient le faire
          volontairement dans l'état ordinaire. LesEsprits se communiquent à eux avec la promptitude
          de l'éclair ; on dirait qu'il y a en eux une surabondance de fluide qui leur permet de
          s'identifier instantanément avec l'Esprit. Cette qualité a quelquefois son inconvénient, c'est
          que la rapidité de l'écriture rend celle-ci très difficile à lire pour tout autre que pour le 
          médium.

            Médiums convulsifs : ils sont dans un état de surexcitation presque fébrile ; leur main, et
          quelquefois toute leur personne est agitée d'un tremblement qu'ils ne peuvent maîtriser. Les
          Esprits bons et bienveillants font toujours une impression douce et agréable ; les mauvais,
          au contraire, en font une pénible.


                  MEDIUMS IMPARFAITS :

            Médiums obsédés : ceux qui ne peuvent se débarrasser d'Esprits importuns et trompeurs,
          mais ne s'abusent pas.

             Médiums fascinés : ceux qui sont abusés par des Esprits trompeurs et se font illusion
          sur la nature des communications qu'ils reçoivent.

             Médiums subjugués : ceux qui subissent une domination morale et souvent matérielle
          de la part de mauvais Esprits.

             Médiums légers : ceux qui ne prennent point leur faculté au sérieux, et ne s'en servent
          que comme amusement ou pour des choses futiles.

             Médiums indifférents : ceux qui ne tirent aucun profit moral des instructions qu'ils
          reçoivent et ne modifient en rien leur conduite et leurs habitudes.

             Médiums présomptueux : ceux qui ont la prétention d'être seuls en rapport avec des
          Esprits supérieurs. Ils croient à leur infaillibilité, et regardent comme inférieur et erroné
          tout ce qui  ne vient pas d'eux.

             Médiums orgueilleux : ceux qui tirent vanité des communications qu'ils reçoivent ; ils
          croient n'avoir plus rien à apprendre en spiritisme, et ne prennent pas pour eux les leçons
          qu'ils reçoivent souvent de la part des Esprits. Ils ne se contentent pas des facultés qu'ils
          possèdent : ils veulent les avoir toutes.

             Médiums susceptibles : ils se blessent des critiques dont leurs communications peuvent
          être l'objet ; ils se fâchent de la moindre contradiction, et s'ils montrent ce qu'ils obtiennent
          c'est pour le faire admirer et non pour demander des avis. Généralement ils désertent les
          réunions où ils ne peuvent s'imposer et dominer.

             Médiums ambitieux : ceux qui, sans mettre à prix leur faculté, espèrent en tirer des
          avantages quelconques.

             Médiums égoïstes : ceux qui ne se servent de leur faculté que pour leur usage personnel,
          et gardent pour eux les communications qu'ils reçoivent.

             Médiums jaloux : ceux qui voient avec dépit d'autres médiums mieux appréciés et qui
          leur sont supérieurs.

               Toutes ces mauvaises qualités ont nécessairement leur contrepartie en bien .


                BONS MEDIUMS :

             Médiums sérieux : ceux qui ne se servent de leur faculté que pour le bien et pour des choses
          vraiment utiles ; ils croiraient la profaner en la faisant servir à la satisfaction des curieux et
          des indifférents ou pour des futilités.

             Médiums modestes : ceux qui ne se font aucun mérite des communications qu'ils reçoivent
          quelques belles qu'elles soient ; ils s'y regardent comme étrangers, et ne se croient pas à l'abri
          des mystifications. Loin de fuir les avis désintéressés, ils les sollicitent.

             Médiums dévoués :  ceux qui comprennent que le vrai médium a une mission à remplir et
          doit, quand cela est nécessaire, sacrifier ses goûts, ses habitudes, ses plaisirs, son temps, et
          même ses intérêts matériels, au bien des autres.

             Médiums sûrs : ceux qui, outre la facilité d'exécution, méritent le plus de confiance, par
          leur propre caractère, la nature élevée des Esprits dont ils sont assistés, et qui sont le moins
          exposés à être trompés.


         Un médium peut sans doute avoir plusieurs aptitudes, mais il y en a toujours une qui 
         domine et c'est celle qu'il doit s'attacher à cultiver si elle est utile. C'est un tort grave que 
         de vouloir pousser quand même au développement d'une faculté que l'on ne possède pas.
         En se renfermant dans sa  spécialité, le médium peut exceller et obtenir de grandes et 
         belles choses ; en s'occupant de tout, il n'obtiendra rien de bien.


                INFLUENCE MORALE DU MEDIUM

            Un médium est choisi par un Esprit selon les affinités qu'ils ont entre eux et dans le but 
           de faire du bien, d'éclairer, de corriger, de profiter ou de faire profiter des instructions qu'il
           nous donne ; de s'améliorer !

             Le médium , au point de vue de l'exécution, n'est qu'un instrument, il exerce sous le
           rapport moral une très grande influence.

             Les qualités qui attirent les bons Esprits sont : la bonté, la bienveillance, la simplicité du
           coeur, l'amour du prochain, le détachement des choses matérielles.
             Les défauts qui les repoussent sont : l'orgueil, l'égoïsme, l'envie, la jalousie, la haine, la
           cupidité, la sensualité, et toutes les passions par lesquelles l'homme s'attache à la matière.

           . Toutes les imperfections morales sont autant de portes ouvertes qui donnent accès aux
           mauvais Esprits ; mais celle qu'ils exploitent avec le plus d'habileté, c'est l'orgueil, parce
           que c'est celle que l'on s'avoue le moins à soi-même. Un des signes non équivoque qui 
           permet de déceler ce travers est d'avoir une confiance aveugle dans la supériorité des
           communications, et dans l'infaillibilité de l'Esprit qui les leur donne ; de là un certain
           dédain pour tout ce qui ne vient pas d'eux, car ils se croient le privilège de la vérité.

           . Un médium vraiment bon est persuadé que sa faculté est un don qui lui est accordé pour
           le bien, il ne cherche nullement à s'en prévaloir, il n'en fait aucun mérite. Il accepte les
           bonnes communications qui lui sont faites comme une grâce dont il doit s'efforcer de se
           rendre digne par sa bonté, par sa bienveillance et sa modestie.
             
             Le précédent s'enorgueillit de ses rapports avec les Esprits supérieurs ; celui-ci s'en
           humilie, parce qu'il se croit toujours au-dessous de cette faveur.
            
          
           Il y a tellement à apprendre, à dire sur la médiumnité... 
          J'espère que le sujet choisi en ce mois de février 2015 vous a intéressé et  que vous 
          inviterez vos amis à venir découvrir cette faculté tellement répandue de nos jours dans 
          le monde entier.
          
          Tous ces éléments sont tirés du LIVRE des MEDIUMS d'Allan KARDEC.
          Lui et ses amis ont cherché dans ce travail, fruit d'une longue expérience et de 
          laborieuses études, à éclairer toutes les questions qui se rattachent à la pratique des
          manifestations ; il contient d'après les Esprits, l'explication théorique de divers
          phénomènes et des conditions dans lesquelles ils peuvent se produire.
          
         Ce livre répond à bon nombre de questions que l'on est en droit de se poser et je vous
         le recommande bien volontiers.

          
         Et en ces temps difficiles je terminerai par cette petite méditation :

                        CHERCHE AU FOND DE TOI  ET TROUVE CETTE PAIX
                                      QUI DEPASSE TOUT ENTENDEMENT ;
                                                        CONSERVE-LA,
                              CE QUI SE PASSE AU-DEHORS IMPORTE PEU

         Namasté ! (je salue le Divin qui est en vous )

         Sarah

 


        

 








          
             




          




          


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